Le collectif Zéro Pesticide 100 % Biodiversité propose « Le fil vert à la découverte de la biodiversité » samedi 1er août 2020, de 14h à 17h, au parc du Val-ès-Fleurs.

Cet après-midi, initialement prévu en avril, donne suite à un projet mené avant le confinement auprès des élèves du groupe scolaire Docteurs Lanos. « Chaque classe a travaillé sur un angle différent de la biodiversité », indique Christelle Gaschy, membre du collectif et de l’association Rejouets.

Le collectif Zéro Pesticide 100 % Biodiversité organise un après-midi de sensibilisation à la biodiversité samedi 1er août à Granville.

« Chaque structure membre du collectif Zéro Pesticide 100 % Biodiversité créé en 2017 apporte ses connaissances et ses spécificités », indique Christelle Gaschy.

Le collectif Zéro Pesticide 100 % Biodiversité organise un après-midi de sensibilisation à la biodiversité samedi 1er août à Granville.


COVID-19

Du gel hydroalcoolique sera mis à la disposition des participants qui devront respecter les distances physiques et le sens de circulation imposée par les organisateurs.

Un labo zéro pesticide et d’autres stands

La formule sera la même pour le grand public samedi 1er août. Chacun sera invité à suivre le fil vert le long duquel seront proposées différentes animations.

« Il y aura, par exemple, un labo zéro pesticide qui se déclinera en deux stands », explique le collectif.

L’idée étant « de faire connaître pour mieux protéger » en donnant des trucs et astuces pour la maison et le jardin.

« L’Agora, avec des habitants des jardins partagés, animera un atelier « fabrication de tisanes » », indique Yoann Lecouillard, responsable du centre social.

La ChèvreRit s’attellera à la sensibilisation des insectes.

Les créatifs seront eux aussi servis ! Cécile Gascoin, de l’Atelier Zébulon, les incitera « à utiliser des matières naturelles » par le biais du land art.


Une exposition photographique

Les organisateurs accrocheront sur le site l’exposition photographique « Changeons le regard » qui leur est prêtée par le département de la Manche.


Un lieu d’échanges

« On se rend compte, en rencontrant les gens, qu’ils ont besoin de réponses », explique Morgane Simon, membre du collectif et du PEP. En espérant que tous ceux qui se posent des questions sur la biodiversité oseront les poser aux organisateurs samedi !